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Un jour, nous danserons parmis les flots en éclats de souvenirs. |
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Assis sur un banc à regarder les passants le temps dans tous les sens se figure nous accompagner il est l'ami de la solitude et n'a aucune raison d'exister à contempler la neige agenouillés sur un tapis blanc et à aimer le vent un souffle perdu Prie nos tourments nous aimons à quoi bon penser
Ailleurs existent nos âmes elles savent à tous moments Que tout cela n'est rien
Rien n'a aucune raison d'exister ce n'est juste le temps...
D'un champ de blé à l'autre, nous n'empruntions jamais le même chemin, et me souviens que lorsque nous fermions les yeux, nous avions moins peur.
Eh oui, c'était gigantesque de voir le pittoresque s'élever au-dessus de nous et l'apercevoir. Nous nous sentions comme transportés au-dessus des vagues, qui, pour nous appeler, chantaient cette mélodie des pouvoirs souverains ; balances sur écume transperçant les roches.
Nous n'avions que ce regard, attiré vers les profondeurs... C'était, je dirais, assez exaltant. Je me souviens d'une nuit de lumière... Quelques brindilles suffisaient à animer les rires. Les voix ne manquaient pas lorsque la lune éclairait nos sourires.
Au matin, nous nous sommes transportés...
Le bleu est coloré de nos regards perdus, et nous aimons à contempler, encore aujourd'hui, nos jardins lointains, en dehors du temps, qui, n'est rien. Un jour, nous danserons parmis les flots en éclats de souvenirs.
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